Après l’escale, nous repartons en mer, et c’est là que ça se gâte. Le gros temps nous a suivi. Entre la houle et ses 4 mètres de creux, et des vents en rafales à plus de 37 nœuds, je commence à être brassé. Sur plusieurs jours, les quarts de nuit deviennent compliqués, le sommeil se fait plus rare, les responsabilités augmentent, le stress et la fatigue s’accumulent.
Pour pallier à ça, il faut récupérer les Alizés. En effet, avec des vents d’est, nous pourrons reprendre notre rythme de croisière et profiter un peu plus du soleil.
Je ressens quelques légères tensions sur le bateau, ce qui est normal. Nous sommes tous pressés d’arriver, dans de telles conditions, alors que nous venons de partir…